Une étude taïwanaise publiée récemment a permis de remettre en lumière le rôle des méthodes non médicamenteuses dans la gestion de la douleur chez le nouveau-né prématuré .
Cette étude, réalisée par une équipe infirmière, et publiée dans le International Journal of Nursing Studies, avait pour but de démontrer l’intérêt de l’administration de lait maternel lors d’un soin douloureux chez le prématuré, en l’occurrence le prélèvement capillaire sanguin au talon.
L’équipe a alors étudié les effets de plusieurs méthodes chez des prématurés nés entre 29 et 37 semaines d’aménorrhée.